NYMPHÉAS NOIRS
PAR PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Un album de bandes dessinées qui ne constitue pas uniquement l’adaptation d’un polar à succès, mais bien une intrusion dans le domaine impressionniste de Claude Monet. LA SUITE
PAR PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Un album de bandes dessinées qui ne constitue pas uniquement l’adaptation d’un polar à succès, mais bien une intrusion dans le domaine impressionniste de Claude Monet. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARREDE
C’est du jazz, mais c’est également de l’amour. Célébration du vingtième anniversaire de sa vingtième disparition, parait une édition en intégrale Dreyfus Jazz du catalogue de Michel Petrucciani. Une compilation des œuvres du pianiste, dont l’intitulé reprend celui d’une partition enregistrée par lui, tant en solo qu’en groupe. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Depuis une décennie et des premières gammes auprès de John Zorn, Jamie Saft a su multiplier projets et rencontres (Iggy Pop, Bill McHenry), en autant de bouleversements esthétiques. LA SUITE
PAR LUNA CRUZ
Un premier film, faussement léger, interroge nos convictions, ou du moins sur ce qu’il en reste. Pour quoi sommes-nous prêts à nous battre encore aujourd’hui ? …LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Il restera de toute éternité le très glorieux batteur de Peter Gabriel (So), mais rappelle avec ce dixième album en nom propre, et à iconographie panafricaine (une kora scintille dans le morceau d’ouverture), que la danse reste au cœur de sa musique, et qu’il entend bien générer cette pulsation, grâce à cet instrument dont on joue avec les quatre membres. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Que l’on se rassure : le troisième album de l’ex chanteuse et violoncelliste des Carolina Chocolate Drops concède bien peu au capitalisme. LA SUITE
Artiste d’exception dans l’univers de la chanson hispanique, compositrice et auteure décomplexée qui échappe à tout formatage stylistique et s’aventure avec aisance du folk expérimental au jazz no format, en passant par un flamenco déstructuré……mais aussi artiste total qui ne se prive pas de composer (et de jouer) pour le cinéma, le théâtre et la danse, Silvia Pérez Cruz incarne la liberté. Avec audace et joie de vivre dans la création. Son succès transgénérationel et sans marketing, notamment en Espagne et en Amérique Latine, est un phénomène trop rare pour laisser indifférent. Découverte en France il y a sept ans, elle a vu sa réputation grandir grâce au film Blancanieves et au dernier spectacle avec la danseuse Rocio Molina (A Grito Pelao, plébiscité à Avignon et à Chaillot). Elle revient à Paris pour présenter deux programmes: Vestida De Nit, qui clore cinq ans de musique avec un ensemble de cordes, et révéler un duo avec Marco Mezquida, le pianiste de jazz le plus en vue actuellement en Espagne. F.C.
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
La Creuse était prévenue : l’atmosphère du concert serait intimiste. Et c’est en effet devant une petite chambrée – plutôt enthousiaste – que le membre fondateur de Dead Can Dance a distillé, en un détachement patelin (je change de guitare, je bois un coup, je change de nouveau de guitare, le tout sur un rythme de sénateur) l’une des 18 dates de sa tournée franco-française. LA SUITE
Loin de ses débuts modestes, cet événement parisien devient le rendez-vous de référence des musiques du monde. Des musiques traditionnelles au jazz, de la chanson populaire aux propositions expérimentales -, dans un programme qui va de l’Argentine à la Grèce, de l’Albanie à Haiti.
Pour cette douzième édition on privilégie les concerts de la surprenante violoncelliste et chanteuse franco-algérienne Nesrine Belmokh et son trio NES, Chicuelo le virtuose guitariste flamenco en quartette, la chanteuse albanaise Elina Duni dans un projet solitaire – où elle s’accompagne au piano, à la guitare et aux percussions -, et l’ensemble « néo-étiopique » Arat Kilo (fortement influencé par le groove d’Addis Abeba) invitant la chanteuse Mamani Keita et le rappeur Mike Ladd. Une salutaire ouverture aux sons du monde. F.C.
PASSI, MESSA !
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Anecdotiquement renommé pour avoir conceptualisé le principe de la ligne claire cher à l’œuvre d’Hergé, le Hollandais Swarte reste le maître d’une réalité à tiroirs qui s’épanouit dans cette définitive édition française. LA SUITE