BACA SEWA
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Comment retrouver ses racines pour la deuxième fois lorsqu’on a été le brillantissime saxophoniste des Dap-Kings (orchestre de la regrettée Sharon Jones) ? En tapant sur des tambours. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Comment retrouver ses racines pour la deuxième fois lorsqu’on a été le brillantissime saxophoniste des Dap-Kings (orchestre de la regrettée Sharon Jones) ? En tapant sur des tambours. LA SUITE
PAR FRANCISCO CRUZ ET ROMAIN GROSMAN
Au fil des mesures liberticides, des violations des Droits de l’Homme et des lois de la République Française, la musique est aussi soumise à la volonté de ceux qui acceptent ou qui refusent les abus de pouvoir. Avec des conséquences néfastes pour les artistes et pour le public… Continuer de croire après deux ans de gestion autoritaire de la « crise sanitaire » qu’il n’y aurait pas là un choix politique clair visant à museler toutes les sources de libre expression – comme on réprime par ailleurs dans la société civile toute velléité contestataire -, serait d’une grande naïveté. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
Cinq années après le coup d’essai d’un quatuor (The Declaration of Musical Independance) comme une proclamation esthétique s’appuyant sur ses connaissances harmoniques, et les trois lustres passés au côté du pianiste Cecil Taylor, le batteur de Brooklyn ressort du placard un concept qui avait séduit la jazzosphère par sa science de la nuance enténébrée. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
La douleur de la rentrée s’atténue souvent grâce aux bienheureuses nouveautés de la bande dessinée. En outre, ça permet de passer du bon temps. La preuve en un rapide panorama. LA SUITE
PAR ROMAIN GROSMAN
L’été 1969, l’histoire (de la musique) n’avait jusque-là retenu qu’un événement : le festival de Woodstock, rassemblement de toute une jeunesse (très majoritairement blanche), momentum de la contre-culture, de la rébellion d’une génération en rupture avec la société de consommation, la guerre du Viêt-Nam… Stockées dans des archives depuis un demi siècle, des dizaines d’heures de tournage viennent de ressusciter un autre épisode tout aussi marquant de cette année charnière, qui se tint à moins de trois cent kilomètres de là, au cœur de Harlem, où la communauté noire se rassembla pendant plusieurs week-ends pour écouter ses héros, de B.B.King à Nina Simone en passant par Mahalia Jackson et les Staple Singers. LA SUITE
PAR ROMAIN GROSMAN
Enregistré en 2010, cet album inédit, lucide et grinçant dans ses textes, est l’une de belles surprises de cet été, où le Kid de Minneapolis renoue avec un son soul-funk épuré, et diablement efficace. LA SUITE
PAR LUNA CRUZ
Le film se résume à une intrigue toute simple, mais qui lui donne toute son originalité : en Côte d’Ivoire, un jeune homme, qui vient d’être incarcéré, est choisi pour devenir « Roman », le conteur de la prison, le temps d’une nuit. Son récit doit tenir du soir jusqu’au matin et captiver les détenus. L’enjeu du film est bien de savoir si l’histoire que le spectateur et les détenus attendent sera (ou pas) à la hauteur. LA SUITE
C’est en trio (le violoniste Laurent Zeller, et le contrebassiste Laurent Delaveau) que celui que l’on considère comme l’un des plus éminents successeurs de Django Reinhardt s’offre une relecture de certains de ses incunables. Comme une balade nocturne et embrumée au royaume de la nostalgie. LA SUITE
PAR CHRISTIAN LARRÈDE
La multi-instrumentiste britannique, comète inspirée d’une scène du jazz d’outre-manche où elle se fraye un chemin à grandes lampées d’inspirations diverses, et de farouche détermination, nourrit sa pratique des préceptes du taoïsme. Bouleversant et profondément original. LA SUITE
PAR ROMAIN GROSMAN
Second extrait du projet Silk Sonic – collaboration de l’année du duo Bruno Mars – Anderson .Paak – « Skate » et son clip feelgood prennent à nouveau la planète a contrepied, offrant en pleine pandémie, et après un premier single royal (« Leave The Door Open »), un thème soul-funk, parfait antidote à la psychose sanitaire et aux dérives liberticides actuelles.
Anderson .Paak avait fait la première partie du « 24K Magic World Tour » de Bruno Mars lancé en 2017. Ce nouveau titre délicieusement solaire, jam mélodieuse et groovy aux arrangements et aux décors old school (la video réalisée par Bruno Mars et Florent Dechard – on pense au mood des clips de Kool & The Gang « Let’s Go Dancing », de George Benson « Give Me The Night »), ravive un esprit à peine rétro, plein d’insouciance, invitation à revenir à des sentiments enfouis sous la chape de plomb d’une époque (délibérément) anxiogène à l’extrême.
L’album est attendu en fin d’année.