Refusée par le pouvoir blanc à un parcours de concertiste classique (une anecdote sujette à caution), Eunice Kathleen Waymon se consacre alors à l’univers du jazz. Un fort coffret et une biographie rappellent ce que la musique afro-américaine y a gagné. LA SUITE
L’été 1969, l’histoire (de la musique) n’avait jusque-là retenu qu’un événement : le festival de Woodstock, rassemblement de toute une jeunesse (très majoritairement blanche), momentum de la contre-culture, de la rébellion d’une génération en rupture avec la société de consommation, la guerre du Viêt-Nam… Stockées dans des archives depuis un demi siècle, des dizaines d’heures de tournage viennent de ressusciter un autre épisode tout aussi marquant de cette année charnière, qui se tint à moins de trois cent kilomètres de là, au cœur de Harlem, où la communauté noire se rassembla pendant plusieurs week-ends pour écouter ses héros, de B.B.King à Nina Simone en passant par Mahalia Jackson et les Staple Singers. LA SUITE
Avec son troisième album (In Need Of Love), elle confirme le caractère protéiforme de son talent, du funk à la pop, en passant par le gospel et… le jazz. À 57 ans, Lisa Celeste semble s’affranchir de l’ombre de sa mère, Nina Simone. LA SUITE
Quatre femmes qui ne se connaissaient pas, unissent leur destin et leurs caractères après la disparition brutale de leurs maris. Dans un thriller efficace, Steve McQueen (12 Years A Slave) adapte et transpose le récit d’une série britannique dans le Chicago d’aujourd’hui… LA SUITE