La violoncelliste Nesrine Belmokh fut l’une des plus surprenantes apparitions de l’automne 2019. Puis, son premier album, Nes, l’une des rares consolations musicales pendant les plus sinistres moments d’une année 2020 particulièrement dangereuse pour les libertés. 2021 marque le début d’une espérance avec Nesrine, un nouveau disque consacré à la voix, sorte d’autoportrait dans une ambiance délétère… LA SUITE
Loin de ses débuts modestes, cet événement parisien devient le rendez-vous de référence des musiques du monde. Des musiques traditionnelles au jazz, de la chanson populaire aux propositions expérimentales -, dans un programme qui va de l’Argentine à la Grèce, de l’Albanie à Haiti.
Pour cette douzième édition on privilégie les concerts de la surprenante violoncelliste et chanteuse franco-algérienne Nesrine Belmokh et son trio NES, Chicuelo le virtuose guitariste flamenco en quartette, la chanteuse albanaise Elina Duni dans un projet solitaire – où elle s’accompagne au piano, à la guitare et aux percussions -, et l’ensemble « néo-étiopique » Arat Kilo (fortement influencé par le groove d’Addis Abeba) invitant la chanteuse Mamani Keita et le rappeur Mike Ladd. Une salutaire ouverture aux sons du monde. F.C.
NES, LE 5 FÉVRIER À L’ALHAMBRA, ELINA DUNI, LE 13 AU BAL BLOMET
CHICUELO, LE 15 AU BAL BLOMET, ARAT KILO, LE 16 AU TRIANON